Séminaire – Renaud Meltz – Les révolutions de 1830 : l’avènement d’une diplomatie de la place publique ?
[vc_row][vc_column width="1/2"][vc_single_image image="1854" img_size=" 679x508"][/vc_column][vc_column width="1/2"][vc_column_text] Séminaire du CRESAT - 14 mars 2018 Les révolutions de 1830 : l'avènement d'une diplomatie de la place publique ? Renaud Meltz, professeur d'histoire contemporaine, directeur du CRESAT [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text] Résumé « Quand on exige l’assentiment des citoyens pour décider si une guerre doit avoir lieu ou non, il n’y a rien de plus naturel que, étant donné qu’il leur faudrait décider de supporter toutes les horreurs de la guerre, ils réfléchissent beaucoup avant de commencer un jeu aussi néfaste ». Suivant cet adage kantien (Vers la paix perpétuelle, 1795), les régimes fondés sur des institutions républicaines ne devraient jamais se faire la guerre. La révolution française remet en question l’optimisme des Lumières. Les révolutionnaires de 1830 se souviennent de la guerre civile et d’un quart…